De nombreuses activités professionnelles exposent les travailleurs au froid naturel (agriculteurs, exploitants de remontées mécaniques, cantonniers, pêcheurs, etc). D’autres évoluent dans le froid artificiel des chambres froides et des entrepôts frigorifiques. Selon le SECO, on parle de travail au froid à partir de températures inférieures à +15 °C1.
Pour certains la frénésie quotidienne les conduit à consommer des repas furtifs avec la conviction de consacrer plus de temps à d'autres activités; pour d'autres faire la pause repas de manière hâtive leur donne l'illusion de rattraper le travail qui s'est accumulé. Quelque soit les motivations de chacun; il est temps de considérer l'acte de manger comme une activité à part entière!